ONG de développement
Union des Jeunes Pour le Developpement
Environnement
Ces soixante dernières années, c’est la moitié des forêts tropicales de la Terre qui ont disparues. A ce rythme, la totalité de la forêt primaire de notre planète sera détruite avant la fin de ce siècle. Le Togo a atteint la zone rouge en matière de déforestation. Dans la sous-région, le Togo fait partie des pays qui ont un taux de déforestation parmi les plus élevés (entre 15.000 à 20.000 hectares chaque année).
Le Togo a ratifié le 19 septembre 2016 l’accord historique de la COP21 de Paris qui stipule dans les articles 4 et 5 que : « Les Etats signataires sont invités à entreprendre les mesures incitatives positives concernant les activités liées à la réduction des émissions résultant du déboisement et de la dégradation des forêts, en ce compris la gestion durable des forêts et l’accroissement des stocks de carbone forestiers dans les pays en voie de développement.»
Projet de reboisement :
En partenariat avec l’ONG Grain de vie, nous mettons en place un programme de reforestation primaire. La moitié des arbres plantés par Graine de Vie sont des arbres forestiers endémiques de la région à reboiser. L’autre moitié sont des arbres utiles pour la population (culture de rente) pour que les forêts reconstituées servent également à améliorer le sort des populations locales.
Le financement de ce projet repose uniquement sur des dons privés via l’association Grain de vie en précisant que vous souhaitez soutenir une pépinière togolaise!
Votre entreprise, association ou club sportif veut compenser l’empreinte écologique de son activité ? N’hésitez pas à nous contacter ! Nous effectuerons une évaluation de votre émission en CO2 et vous proposerons plusieurs possibilités d’action à nos côtés.
L’état togolais est signataire avec l’ONG UJPOD et l'ONG Graine de vie d’une convention composé en trois volets:
Seul une minorité de la population participe à la destruction des forêts. La plupart ignore d’ailleurs que ces pratiques sont soit interdites soit règlementées par la loi togolaise. Le restant de la population subit en silence la destruction de leur environnement. Il convient dans un premier temps de renforcer les actions de sensibilisation auprès de la population.
Alternatives :Cette sensibilisation ne pourra cependant réellement porter ses fruits sans donner à la population des alternatives au charbonnage et aux coupes sèches d’arbres. La principale alternative consiste à mettre gratuitement à la disposition des villageois des plants d’arbres forestiers et de rente qui leur assureront des revenus à moyen terme.
Contrôle surveillance et répression:L’état togolais dispose de la force publique nécessaire pour faire appliquer les lois. La grande majorité de la population, une fois sensibilisée, sera prête à agir pour le reboisement. Cependant, il ne faut pas laisser une dernière minorité menacer la réussite totale de ce projet en continuant à détruire les forêts existantes.